Tomás Saraceno

Tomás Saraceno
Naissance
(51 ans)
San Miguel de Tucumán, Argentine
Nationalité
Drapeau de l'Argentine Argentin
Activité
plasticien
Représenté par
Tanya Bonakdar Gallery (en), Esther Schipper Gallery (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
1822-Kunstpreis (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
www.tomassaraceno.comVoir et modifier les données sur Wikidata

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Tomás Saraceno, né le à San Miguel de Tucumán (Argentine), est un artiste contemporain argentin résidant en Allemagne.

Biographie

Architecte de formation, il est notamment connu pour ses spectaculaires réseaux, tissés par des araignées, l'objet de sa recherche artistique et scientifique.

Avec des installations spectaculaires comme Poetic Cosmos Of The Breath[1] en 2007, il est avec Olafur Eliasson un représentant majeur de l'art environnemental contemporain. A l'occasion de la COP21 en 2015, il a présenté sa vision de l'Aerocène - un mouvement global pour la conscience environmentale, innovative and créative, distribuée en commun[2].

Quelques expositions

Tomas Saraceno, Air-Port-City / Cloud Cities, 2010, Domaine du Muy, France
  • 2009 : Galaxies forming along filaments, like droplets along the strands of a spider’s web à la Biennale de Venise
  • 2011 : Cloud Cities à la Hamburger Bahnhof (Berlin)
  • 2012 : Cloud City au Metropolitan Museum of Art (New York)
  • 2015 : Une brève histoire de l’avenir au Musée du Louvre (Paris)
  • 2015 : Museo Aero Solar au Palais de Tokyo (Paris)
  • 2015 : Aerocene au Grand Palais (Paris)
  • 2017 : Cómo atrapar el universo en una telaraña au Musée d'Art Moderne de Buenos Aires
  • 2017 : Cloud Cities: du sol au soleil, Voyage d’hiver dans les Jardins du château de Versailles
  • 2018 : Carte blanche au Palais de Tokyo (Paris)[3]

Liens externes

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  • Ressources relatives aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Delarge
    • Kunstindeks Danmark
    • Museum of Modern Art
    • RKDartists
    • Union List of Artist Names
    Palais de Tokyo
  • (en) Site officiel

Références

  1. rafael, « Tomás Saraceno - Poetic Cosmos of the Breath - 2007 », sur lankaart.org, (consulté le ).
  2. « COP21 : le premier vol de montgolfière zéro carbone », sur Makery (consulté le ).
  3. Maryse EMEL, « Tomás Saraceno : un artiste rêve scientifiquement l'aérocène », sur nonfiction.fr, (consulté le )
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