Olivier Stirn

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Olivier Stirn
Illustration.
Olivier Stirn en 1989.
Fonctions
Ministre délégué au Tourisme

(2 ans et 12 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Rocard II
Prédécesseur François Doubin
Successeur Jean-Marie Rausch
Secrétaire d'État aux DOM-TOM[N 1]

(1 mois et 12 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Rocard I
Prédécesseur Bernard Pons
Successeur Louis Le Pensec

(3 ans, 9 mois et 23 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Gouvernement Chirac I
Barre I et II
Prédécesseur Joseph Comiti
Successeur Paul Dijoud
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères

(3 ans, 1 mois et 17 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Gouvernement Barre III
Prédécesseur Jean-François Deniau
Successeur Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État auprès du ministre chargé des Relations avec le Parlement

(1 an, 1 mois et 14 jours)
Président Georges Pompidou
Gouvernement Messmer II et III
Prédécesseur Robert Boulin (ministre délégué)
Successeur René Tomasini
Député français

(6 jours)
Élection 12 juin 1988
Circonscription 5e de la Manche
Législature IXe (Cinquième République)
Groupe politique app. SOC
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Bernard Cauvin

(2 ans, 1 mois et 28 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Manche
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC

(4 ans, 8 mois et 30 jours)
Élection 21 juin 1981
Circonscription 5e du Calvados
Législature VIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF (1981-1984)
NI (1984-1986)
Prédécesseur Antoine Lepeltier
Successeur Proportionnelle par département

(1 mois et 3 jours)
Élection 19 mars 1978
Circonscription 5e du Calvados
Législature Ve (Cinquième République)
Groupe politique RPR
Prédécesseur Charles Malouin
Successeur Antoine Lepeltier

(4 ans, 10 mois et 1 jour)
Élection 30 juin 1968
Réélection 11 mars 1973
Circonscription 5e du Calvados
Législature IVe (Cinquième République)
Groupe politique UDR
Prédécesseur Marcel Restout
Successeur Charles Malouin
Président de la Communauté urbaine de Cherbourg

(1 an)
Prédécesseur Jean Lerouvreur
Successeur Bernard Cauvin
Maire de Vire

(17 ans, 11 mois et 27 jours)
Élection mars 1971
Réélection mars 1977, mars 1983
Prédécesseur André Halbout
Successeur Jean-Yves Cousin
Conseiller général du canton de Vire

(7 ans)
Élection mars 1994
Prédécesseur Jean-Yves Cousin
Successeur Jean-Yves Cousin

(18 ans)
Élection mars 1970
Réélection mars 1976
mars 1982
Prédécesseur Bertrand Le Chevrel
Successeur Jean-Yves Cousin
Biographie
Date de naissance (88 ans)
Lieu de naissance Boulogne-Billancourt (France)
Nationalité Française
Parti politique UDR (1968-1976)
RPR (1976-1977)
MSL (1977)
CSD (1977)
UDF-RAD (1977-1984)
UCR (1984-1986)
PS (1986-1993)
UDF (1993-1994)
MDR (1994-2002)
UMP (depuis 2002)

Olivier Stirn
Maires de Vire
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Olivier Stirn, né le à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), est un homme politique français, ancien ministre, qui a appartenu à plusieurs partis de droite et de gauche.

Biographie

Jeunesse et études

Olivier Stirn est l'arrière-petit neveu d'Alfred Dreyfus[1]. Il est l'ainé d'une famille de six frères[2], dont François-Henri, Gérard, Bernard, Pierre-Jérôme, tous fils d'Alexandre Stirn, ancien préfet et magistrat à la Cour des comptes (1911-2000).

Élève au lycée Janson-de-Sailly, il y obtient son baccalauréat. Il est diplômé d'études supérieures de droit public et de sciences politiques, ainsi que diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (section Service public, promotion 1958)[3].

À la fin de sa carrière politique, Olivier Stirn est particulièrement actif dans l'affaire d'héritage qui l'oppose à sa jeune belle-mère, Kenza, épousée par son père en 1996[2]. Il gagne un procès[4].

Il est divorcé de Marine Saunier avec laquelle il a deux enfants, Renaud Stirn et Guillaume Stirn[5]. Il s’est ensuite marié à Évelyne Stirn, candidate provisoirement investie par Les Républicains pour la 6e circonscription du Calvados[6] aux élections législatives de 2017. De ce second mariage sont nés deux autres enfants, Anna et Emmanuel.

Début de carrière

Tout comme son père, il choisit l'administration préfectorale, devenant chef de cabinet du préfet de la Meuse en 1961.

Il occupe des postes de chargé de mission et puis de chef de cabinet de Louis Jacquinot, ministre d'État chargé des DOM-TOM (1964), et de chef de cabinet de Jean Charbonnel, secrétaire d'État aux Affaires étrangères chargé de la Coopération (1966-1967), et de Jacques Chirac, secrétaire d'État aux Affaires sociales, chargé des problèmes de l'emploi (1967-1968).

Il s'implante à Vire à partir de 1968. Il en est député UDR (1968-1973), conseiller général (1970-1988) et maire (1971-1989). Bon orateur et parlementaire actif, il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre chargé des Relations avec le Parlement (1973-1974), secrétaire d’État aux Départements et territoires d’outre-mer (1974-1978), puis aux Affaires étrangères (1978-1981). À partir du , outre les attributions qu'il exerce en qualité de secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, il est mis à la disposition du ministre de la Défense, ministre de la Coopération pour toutes les missions que celui-ci lui confie.

Comme secrétaire d'État aux DOM-TOM pendant presque quatre ans, il négocie l'indépendance des Comores en 1975 et de Djibouti en 1977. Il désire départementaliser l'outre-mer, ce qu'il fait pour Saint-Pierre-et-Miquelon mais doit accorder l'autonomie à la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie en 1976 et 1977 face aux pressions indépendantistes[7].

Dans l'opposition libérale

Le , lorsque Jacques Chirac annonce sa candidature à la Mairie de Paris, entrant ainsi en conflit ouvert avec Valéry Giscard d'Estaing, il quitte le RPR, et le crée le Mouvement des sociaux-libéraux (MSL)[8] avec le soutien de René Lenoir et Lionel Stoléru et le concours de Didier Schuller, Christian Gerondeau, François Thual et Gérard Pince. Le , avec René Lenoir et Lionel Stoléru, il crée le Carrefour social-démocrate[9]. Le , le MSL fusionne dans le Parti radical valoisien, future partie constitutive de l'UDF, et Olivier Stirn devient vice-président du Parti radical[10].

En , il brigue la présidence du Parti radical. Il obtient le 33,57 % des suffrages exprimés et est battu par André Rossinot[11]. En , Olivier Stirn quitte le Parti radical pour créer l'Union centriste et radicale (UCR). Aux élections européennes de 1984, il est tête de liste de l’Entente radicale écologiste pour les États-Unis d'Europe (ERE), unissant l'UCR, le MRG et des écologistes, dont Brice Lalonde, et obtient 3,32 % des voix.

Retour sous François Mitterrand

Aux élections législatives de 1986, l'UCR, rebaptisée depuis Union centriste républicaine, participe à des listes d'alliance avec le PS puis fusionne avec ce dernier.

À l'époque, Le Canard enchaîné le surnomme « l'Andouille de Vire » puis « l'Andouille de Vire à gauche ». Il change alors de département d'élection en devenant, malgré des réticences locales, la tête de la liste socialiste dans la Manche en 1986. Il obtient un score qui permet à la gauche manchoise d'avoir deux élus à l'Assemblée pour la première fois de son histoire[12]. En 1988, il succède à Louis Darinot dans la circonscription de Cherbourg.

Il quitte son mandat parlementaire lorsqu'il devient ministre du Tourisme sous le premier gouvernement Michel Rocard (1988-1990).

Fin de carrière politique

Il doit renoncer à ses fonctions ministérielles le en raison d'un scandale : des auditeurs payés avaient été recrutés afin de faire nombre dans un colloque organisé par son association Dialogues 2000 sur l'avenir de la gauche[13] (les recrutés avaient tous quitté la salle à 18 h, heure de fin de leur contrat, pendant un discours d'orateur, laissant la salle quasiment vide hormis les personnalités du PS). Sous la pression de la majorité socialiste, il démissionne alors du conseil municipal de Cherbourg et de la présidence de la communauté urbaine de Cherbourg.

L'année suivante, il est nommé par l'exécutif ambassadeur de France auprès du Conseil de l'Europe[14]. Il démissionne en pour se présenter aux élections législatives[15], année de la déroute de la gauche. Après avoir échoué à redevenir député de Vire face à René Garrec (UDF) aux législatives de 1993, il rejoint en 1994 le MDR de Jean-Pierre Soisson, comme lui ancien ministre d'ouverture du gouvernement Rocard, puis annonce son soutien à Jacques Chirac à l'élection présidentielle de 1995. Aux élections régionales de 1998, il présente avec Corinne Lepage une liste dissidente à celle du président RPR sortant René Garrec, sans obtenir de siège. Il intègre ensuite l'UMP où il est conseiller du président.

En 2004, il publie Mes Présidents, illustrant par ce titre un record, celui d'avoir appartenu à tous les partis des six présidents de la Ve République. Dans ce livre, il se qualifie de « gaulliste de gauche » et exprime son soutien à Nicolas Sarkozy.

En 2009, il devient conseiller de la présidence de la République pour l’Union pour la Méditerranée puis, l'année suivante, secrétaire national de l'UMP chargé de la diversité[16]. C'est en tant que secrétaire national à la diversité qu'il annonce, le , la création de « l'Union des Français musulmans »[17]. L'UMP annonce que « les musulmans de France favorables à (...) la majorité présidentielle décident de créer l'UFM ». L'initiative n'aura cependant pas de succès : le communiqué de presse est retiré du site de l'UMP le jour même[18].

Affiliations

Olivier Stirn est président d'honneur de l'Union pour la diversité républicaine (affilié à l'UMP) ainsi que du Club Nouveau Siècle de la Manche.

Il est membre du comité France-Israël[19].

D'après le Dictionnaire historique des Francs-Maçons du « frère » Jean-André Faucher, paru en 1988, il serait initié au sein de la Grande Loge nationale française.

Académie

Olivier Stirn est élu membre libre de l'Académie des sciences d'outre-mer le [20].

Mandats électifs

Député du Calvados (5e circonscription, Vire)
Député de la Manche
  • -  : Parti socialiste
Député de la Manche (5e circonscription, Cherbourg)
  • -  : apparenté socialiste
Conseiller général du Calvados
  • 1970-1988 et 1994-2001
Maire de Vire
  • -
Président de la Communauté urbaine de Cherbourg
  • 1989 - 1990

Fonctions gouvernementales

Secrétaire d'État auprès du Ministre chargé des Relations avec le Parlement
  • -
  • -
Secrétaire d'État aux DOM-TOM (autonome)
  • -
Secrétaire d'État aux DOM-TOM (auprès du Ministre de l'Intérieur)
  • -
  • -
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères
  • -
Ministre délégué aux DOM-TOM (auprès du Premier ministre)
  • -
Ministre délégué au Tourisme (auprès du Ministre de l'Industrie et de l'Aménagement du territoire)
  • -

Honneurs

Décorations

  • Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur (1993)[21]
  • Médaille d'honneur de l'engagement ultramarin, échelon or (2022) au titre d' « ancien secrétaire d'État aux DOM-TOM »[22]
  • Commandeur de l'ordre national du de la république de Djibouti (2019)[23]

Distinctions

Bibliographie

Préface

  • Collectif, Gotha noir de France, 2012-2013 : démentir les préjugés par l'exemple, éditions Efficience, 2012

Livres

  • Mes présidents, 50 ans au service de la Ve République, éditions du Félin, 2004
  • Une certaine idée du centre, Albin Michel, 2017
  • L'éveil décisif de l'Afrique : il n'y a pas d'autre choix que l'espérance, avec Évelyne Stirn, L’Harmattan, 2019

Notes et références

Notes

  1. Sous Rocard, il est ministre délégué des Outre-mer.

Références

  1. Alain Auffray, « Une cérémonie nationale pour Alfred Dreyfus », Libération, (version du sur Internet Archive).
  2. a et b Renaud Lecadre, « Le riche préfet, la jeune héritière et l'ancien ministre », Libération,‎ (lire en ligne).
  3. « Sciences Po Alumni », sur asso.fr (version du sur Internet Archive).
  4. J.D., « Olivier Stirn relaxé », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  5. (en) « Visit of Mr Olivier Stirn, Secretary of State of foreign affairs of France », Singapore Government Press Release,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  6. « Législatives 2017 : Évelyne Stirn investie à Vire par Les Républicains », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  7. Dictionnaire des ministres
  8. A. P., « M. Olivier Stirn lance le Mouvement des sociaux-libéraux », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant).
  9. Nadine Gardelle, « Précédent : L'ouverture en 1977 », Le Monde,‎ , p. 2 (lire en ligne).
  10. « Les sociaux libéraux de M. Stirn rejoignent le parti radical », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant).
  11. Christine Fauvet-Mycia, « Plusieurs personnalités du M.R.G. et du parti radical ont engagé une démarche commune », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant).
  12. Lors des élections législatives françaises de 2012, deux députés socialistes sont de nouveau élus dans le département : Stéphane Travert et Bernard Cazeneuve
  13. « Qui va nous payer ? », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant).
  14. Décret du portant nomination d'un ambassadeur, représentant permanent de la France auprès du Conseil de l'Europe, à Strasbourg, publié au JORF du .
  15. « La préparation des élections législatives - D'une région à l'autre - Basse-Normandie Calvados : le retour d'Olivier Stirn », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant).
  16. « Olivier Stirn chargé de la diversité à l'UMP »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Le Parisien, .
  17. Samuel Laurent, « L'UMP crée une "Union des Français musulmans" », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  18. « L'UMP se débarrasse de ses « Français musulmans » », Al-Kanz,‎ (lire en ligne).
  19. « Association France-Israël » [PDF] (version du sur Internet Archive).
  20. « Académiciens - Académie des sciences dʼoutre-mer », sur Académie des sciences dʼoutre-mer (consulté le ).
  21. Décret du portant promotion et nomination, publié au JORF du .
  22. Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses no 02 du  : Arrêté du portant attribution de la médaille d’honneur de l'engagement ultramarin (lire en ligne), p. 535.
  23. Laura Baudier, « L'ancien maire de Vire et ancien ministre Olivier Stirn nommé Commandeur par la République de Djibouti », sur actu.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • 1973 : Le Piège : Comment lire le Programme commun, avec Jean-Pierre Soisson et Bernard Stasi, France-Empire, 171 p.
  • 1985 : Une certaine idée du centre, Albin Michel, 186 p. (ISBN 2-226-02341-0)
  • 2004 : Mes présidents : 50 ans au service de la Ve République, le Félin, coll. « Histoire et sociétés », 266 p. (ISBN 2-86645-570-3)

Liens externes

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v · m
Gouvernements Pierre Messmer I, II et III (5 juillet 1972 - 27 mai 1974)
Sous la présidence de Georges Pompidou
Ministres d'État


Pierre Messmer
Défense nationale
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Justice
Affaires étrangères
Intérieur
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Transports
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v · m
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Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État (6) : Pierre-Christian Taittinger (6)

Jacques Chirac
Premier ministre
(en 1980)
Justice, garde des sceaux
Jean Lecanuet puis ministre d'État (6)
Secrétaire d'État à la Condition pénitentiaire : Hélène Dorlhac
Défense
Jacques Soufflet (dém) (5) puis Yvon Bourges (5)
Secrétaire d'État (5) puis supprimé (8) : Marcel Bigeard (5) puis (dém) (8)
Réformes puis supprimé (1) Jean-Jacques Servan-Schreiber (dém) (1)
Affaires étrangères
Jean Sauvagnargues
Secrétaire d'État : Bernard Destremau
Secrétaire d'État (6) puis supprimé (7) : Jean François-Poncet (6) puis (dém) (7)
Économie et Finances
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État au Budget : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation (6) : Christiane Scrivener (6)
Éducation
René Haby
Secrétaire d'État à l'Enseignement préscolaire puis supprimé (6) : Annie Lesur (dém) (6)
Coopération Pierre Abelin (dém) (6) puis Jean de Lipkowski (6)
Équipement
Robert Galley
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État (5) : Jean-François Deniau (5) puis (dém) (6) puis Pierre Méhaignerie (6)
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Qualité de la vie
André Jarrot (dém) (6) puis André Fosset (6)
Secrétaire d'État à l'Environnement : Gabriel Péronnet puis poste suspendu (4) puis Paul Granet (6)
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Pierre Mazeaud
Secrétaire d'État au Tourisme : Gérard Ducray (dém) (6) puis Jacques Médecin (6)
Travail
Michel Durafour
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : André Postel-Vinay (dém) (3) puis Paul Dijoud (3)
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels (6) : Lionel Stoléru (6)
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Commerce et Artisanat Vincent Ansquer
Anciens Combattants Secrétaire d'État : André Bord
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État : Pierre Lelong (dém) (5) puis Aymar Achille-Fould (5) puis (dém) (6) puis Norbert Ségard (6)
Transports Secrétaire d'État : Marcel Cavaillé
Culture Secrétaire d'État : Michel Guy
Commerce extérieur Secrétaire d'État puis ministre (5) : Norbert Ségard puis Raymond Barre (6)
Universités Secrétaire d'État : Jean-Pierre Soisson puis Alice Saunier-Seïté (6)
Départements et Territoires d'outre-mer Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : René Tomasini
Secrétaire d'État à la Fonction publique : Roger Poudonson (dém) (4) puis Gabriel Péronnet (4)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle : Paul Granet puis Jean-Pierre Soisson (6)
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement : André Rossi
Secrétaire d'État à la Condition féminine (2) : Françoise Giroud (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Ajustement du
( MESSMER III]) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE I )
v · m
Gouvernement Raymond Barre I ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l'Économie et des Finances : Michel Durafour
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Olivier Guichard, ministre d'État
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Plan et Aménagement du territoire Jean Lecanuet, ministre d'État
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger
Défense Yvon Bourges
Éducation René Haby
Coopération Robert Galley
Équipement
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Relations avec le Parlement Robert Boulin
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État : Pierre Méhaignerie
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : Paul Dijoud
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels : Lionel Stoléru
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État (1) : Claude Coulais (1)
Qualité de la vie
Vincent Ansquer
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Commerce et Artisanat Pierre Brousse
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord
Culture Secrétaire d'État  : Françoise Giroud
Universités Secrétaire d'État  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État  : Antoine Rufenacht
( CHIRAC I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE II )
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Gouvernement Raymond Barre II ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Robert Boulin
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Pierre Bernard-Reymond
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux
Alain Peyrefitte
Secrétaire d'État (4) : Monique Pelletier (4)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger (dém) (3) puis Jean-François Deniau (3)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Secrétaire d'État aux Collectivités locales : Marc Bécam
Défense
Yvon Bourges
Secrétaire d'État puis supprimé (3) : Jean-Jacques Beucler
Coopération Robert Galley
Culture et Environnement
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Équipement et Aménagement du territoire
Jean-Pierre Fourcade (dém) (3) puis Fernand Icart (3)
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire puis supprimé (2) : Paul Dijoud
Éducation René Haby
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Blanc
Industrie, Commerce et Artisanat
René Monory
Secrétaire d'État : Antoine Rufenacht
Secrétaire d'État : Claude Coulais
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État : Jacques Legendre
Secrétaire d'État chargé de l’Emploi féminin (4) : Nicole Pasquier (4)
Santé et Sécurité sociale
Simone Veil
Secrétaire d'État : René Lenoir
Secrétaire d'État : Hélène Missoffe
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord puis Jean-Jacques Beucler (3)
Universités Secrétaire d'État puis ministre (4)  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports Secrétaire d'État  : Jean-Pierre Soisson (dém) (1) puis Paul Dijoud (2)
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Christian Poncelet (dém) (3) puis André Bord (3)
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État à la Recherche  : Jacques Sourdille
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
( BARRE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE III )
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Gouvernement Raymond Barre III ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Justice, garde des sceaux
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Secrétaire d'État : Monique Pelletier puis Jean-Paul Mourot (1)

Raymond Barre
Premier ministre
Santé et Famille
puis Santé et Sécurité sociale (3)
Simone Veil (dém) (3) puis Jacques Barrot (3)
Secrétaire d'État : Daniel Hoeffel puis Rémy Montagne (7)
Secrétaire d'État (3) puis supprimé (12) : Jean Farge (3) puis (dém) (12)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Paul Dijoud
Secrétaire d'État aux Collectivités locales puis supprimé (7) : Marc Bécam non remplacé (7)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud (dém) (2) puis Jean François-Poncet (2)
Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaire d'État : Pierre Bernard-Reymond (1)
Défense Yvon Bourges (dém) (7) puis Joël Le Theule (7) puis Robert Galley (9)
Travail et Participation
Robert Boulin puis Jean Mattéoli (5)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle puis changement de ministre de tutelle (7) : Jacques Legendre
Secrétaire d'État aux Travailleurs manuels et Immigrés : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État à l’Emploi féminin : Nicole Pasquier
Coopération Robert Galley
Économie René Monory
Budget Maurice Papon
Environnement et Cadre de vie
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Logement puis supprimé (7) : Marcel Cavaillé non remplacé (7)
Secrétaire d'État à l'Environnement : François Delmas
Éducation
Christian Beullac
Secrétaire d'État puis supprimé (7) : Jacques Pelletier non remplacé (7)
Universités Alice Saunier-Seïté
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Fouchier
Industrie
André Giraud
Secrétaire d'État à la Petite et Moyenne Industrie : Jean-Pierre Prouteau
Transports Joël Le Theule puis Daniel Hoeffel (7)
Commerce et Artisanat Jacques Barrot puis Maurice Charretier (3)
Commerce extérieur Jean-François Deniau puis Michel Cointat (7)
Jeunesse, Sports et Loisirs Jean-Pierre Soisson
Culture et Communication Jean-Philippe Lecat (dém) (11) puis Michel d'Ornano (11)
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard puis Pierre Ribes (8)
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : Maurice Plantier
Ministres délégués et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé de la Condition féminine (1) puis ministre délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine (6) : Monique Pelletier (dém) (11) puis Alice Saunier-Seïté (11)
Ministre délégué chargé des Réformes administratives (7) : Jean-François Deniau (dém) (11) puis Raymond Barre (11)
Ministre délégué (8) puis supprimé (10) : Norbert Ségard
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Jacques Limouzy
Secrétaire d'État à la Recherche  : Pierre Aigrain
Secrétaire d’État chargé des Industries agricoles et alimentaires (4)  : Michel Debatisse (4)
Secrétaire d'État chargé de la formation professionnelle (7)  : Jacques Legendre
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
  • (9) Remaniement du
  • (10) Modification du
  • (11) Remaniement du
  • (12) Modification du
( BARRE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MAUROY I )
v · m
Gouvernement Michel Rocard I ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale, Recherche et Sports
Lionel Jospin, Ministre d'État
Ministre délégué chargé de la Recherche : Hubert Curien
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement technique : Robert Chapuis
Secrétaire d'État chargé des Sports : Roger Bambuck

Michel Rocard
Premier ministre
Économie, Finances et Budget
Pierre Bérégovoy, Ministre d'État
Secrétaire d'État chargé de la Consommation : Véronique Neiertz
Équipement et Logement
Maurice Faure Ministre d'État
Secrétaire d'État chargé du Logement : Philippe Essig
Secrétaire d'État chargé des Grands Travaux : Émile Biasini
Affaires étrangères
Roland Dumas, Ministre d'État
Ministre délégué : Edwige Avice
Secrétaire d'État chargé des Relations culturelles internationales et de la Francophonie : Thierry de Beaucé
Justice, garde des sceaux Pierre Arpaillange
Défense Jean-Pierre Chevènement
Intérieur
Pierre Joxe
Secrétaire d'État chargé des Collectivités territoriales : Jean-Michel Boucheron
Industrie, Commerce extérieur
et Aménagement du territoire
Roger Fauroux
Ministre délégué chargé de l'Aménagement du territoire et des Reconversions : Jacques Chérèque
Ministre délégué chargé du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme : François Doubin
Affaires européennes Édith Cresson
Transports
Louis Mermaz
Secrétaire d'État chargé des Voies navigables et des Transports routiers : Georges Sarre
Fonction publique et Réformes administratives Michel Durafour
Affaires sociales et Emploi
Michel Delebarre
Ministre délégué chargé de la Famille, des Droits de la femme, de la Solidarité et des Rapatriés : Georgina Dufoix
Ministre délégué chargé de la Santé et de la Protection sociale : Claude Évin
Secrétaire d'État chargé de la Formation professionnelle : André Laignel
Secrétaire d'État chargé de l'Insertion sociale : Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Personnes âgées et des Handicapés : Catherine Trautmann
Coopération et Développement Jacques Pelletier
Culture et Communication
Jack Lang
Ministre délégué chargé de la Communication : Catherine Tasca
Agriculture et Forêt Henri Nallet
Postes, Télécommunications et Espace Paul Quilès
Mer Louis Le Pensec
Relations avec le Parlement Jean Poperen
Anciens Combattants Secrétaire d'État aux Anciens Combattants : Jacques Mellick
Ministre délégué et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé des Départements et Territoires d'outre-mer : Olivier Stirn
Secrétaire d'État du Plan : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État chargé de l'Environnement : Brice Lalonde
Secrétaire d'État : Tony Dreyfus
Ordonnancement par ordre de préséance
( CHIRAC II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (ROCARD II )
v · m
Gouvernement Michel Rocard II ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale, Jeunesse et Sports
Lionel Jospin, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement technique : Robert Chapuis
Secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports : Roger Bambuck

Michel Rocard
Premier ministre
Économie, Finances et Budget
Pierre Bérégovoy, ministre d'État
Ministre délégué chargé du Budget : Michel Charasse
Secrétaire d'État chargé de la Consommation : Véronique Neiertz
Équipement et Logement
puis Équipement, Logement, Transports et Mer (2)
Maurice Faure, ministre d'État (dém) (2) puis Michel Delebarre (2) puis Louis Besson (7)
Ministre délégué chargé de la Mer : Jacques Mellick (changement de ministère de référence (2))
Secrétaire d'État chargé des Transports routiers et fluviaux : Georges Sarre (changement de ministère de référence (2))
Ministre délégué chargé du Logement (3) puis supprimé (7) : Louis Besson (3)
Ville (7) Michel Delebarre, ministre d'État (7)
Affaires étrangères
Roland Dumas, ministre d'État
Ministre délégué chargé de la Francophonie : Alain Decaux
Ministre délégué : Edwige Avice
Secrétaire d'État chargé des Relations culturelles internationales : Thierry de Beaucé
Ministre délégué chargé des Affaires européennes (6) : Élisabeth Guigou (6)
Justice, garde des sceaux
Pierre Arpaillange (dém) (6) puis Henri Nallet (6)
Ministre délégué (6) : Georges Kiejman (6)
Défense
Jean-Pierre Chevènement (dém) (8) puis Pierre Joxe (8)
Secrétaire d'État à la Défense (3) : Gérard Renon (3)
Intérieur
Pierre Joxe puis Philippe Marchand (8)
Secrétaire d'État chargé des Collectivités territoriales puis supprimé (5) : Jean-Michel Baylet
Ministre délégué (5) puis supprimé (8) : Philippe Marchand (5)
Industrie et Aménagement du territoire
Roger Fauroux
Ministre délégué chargé de l'Aménagement du territoire et des Reconversions : Jacques Chérèque
Ministre délégué chargé du Commerce et de l'Artisanat : François Doubin
Ministre délégué chargé du Tourisme : Olivier Stirn (dém) (4) puis Jean-Michel Baylet (5)
Affaires européennes puis min. supprimé (6) Édith Cresson (dém) (6) puis ministre délégué (6)
Transports et Mer
puis fusionné avec le min. de l'Équipement et du Logement (2)
Michel Delebarre
Ministre délégué chargé de la Mer : Jacques Mellick
Secrétaire d'État chargé des Transports routiers et fluviaux : Georges Sarre
Fonction publique et Réformes administratives Michel Durafour, puis ministre d'État (2)
Travail, Emploi et Formation professionnelle
Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État chargé de la Formation professionnelle : André Laignel
Coopération et Développement Jacques Pelletier
Culture et Communication, Grands travaux et Bicentenaire
Jack Lang
Ministre délégué chargé de la Communication : Catherine Tasca
Secrétaire d'État chargé des Grands Travaux : Émile Biasini
Départements et Territoires d'outre-mer Louis Le Pensec
Agriculture et Forêt Henri Nalletpuis Louis Mermaz (6)
Postes, Télécommunications et Espace Paul Quilès
Relations avec le Parlement Jean Poperen
Solidarité, Santé et Protection sociale
puis Affaires sociales et Solidarité (6)
Claude Évin, porte-parole du Gouvernement
Ministre délégué chargé de la Santé : Léon Schwartzenberg (dém) (1) puis Bruno Durieux (6)
Ministre délégué chargé des Personnes âgées : Théo Braun (dém) (6)
Secrétaire d'État chargé de la Famille puis secrétaire d'État chargé de la Famille et des Personnes âgées (6) : Hélène Dorlhac de Borne
Secrétaire d'État chargé des Handicapés et Accidentés de la vie : Michel Gillibert
Recherche et Technologie Hubert Curien
Commerce extérieur
puis Commerce extérieur et Tourisme (4)
puis Commerce extérieur (5)
Jean-Marie Rausch
Droits des femmes Secrétaire d'État chargé des Droits des femmes : Michèle André
Anciens Combattants et Victimes de guerre Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et des Victimes de guerre : André Méric
Prévention des risques technologiques
et naturels majeurs puis supprimé (3)
Secrétaire d'État chargé de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs, puis supprimé (3) : Gérard Renon
Ministre et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État du Plan : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État chargé de l'Environnement puis secrétaire d'État chargé de l'Environnement et de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs (3) puis ministre délégué chargé de l'Environnement et de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs (6) : Brice Lalonde
Secrétaire d'État : Tony Dreyfus
Secrétaire d'État chargé de l'Action humanitaire : Bernard Kouchner
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
( ROCARD I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CRESSON )
v · m
Ministres

Ministère des Outre-mer
Ministres délégués ou secrétaires d'État
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