Hydathode

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Section d’une feuille de Primula sinensis montrant des hydathodes.

Un hydathode (du grec hydat-, « eau » et hodos, « voie », terme créé en 1894 par le botaniste autrichien Gottlieb Haberlandt[1]) est un tissu secréteur qui rejette l'eau issue d'un parenchyme aquifère ou d'un vaisseau de xylème par des orifices aménagés entre des cellules épidermiques foliaires[2]. Cet orifice aquifère ou pore opère notamment lors du phénomène de guttation par exsudation de gouttelettes.

Exemples de plantes possédant des hydatodes

  • Alchemilla glabra[3]
  • Dieffenbachia sp. [3]
  • Philodendron sp. [3]

Voir aussi

Références

  1. (en) A. Fahn, Secretory tissues in plants, Academic Press, , p. 7.
  2. Pierre Meerts, Botanique I : Première partie - Histologie et anatomie des plantes à graines, Presses Universitaires de Bruxelles, 6e éd., 113 p., p. 43
  3. a b et c Aline Raynal-Roques, La botanique redécouverte, Paris, Belin éditeur, (réimpr. 2001, juin), 512 p. (ISBN 978-2-7011-1610-5), p. 261
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